Des  taxes, des impositions, des majorations, des décotes, des fins de droits …… voilà les cadeaux offerts par les politiques pour qu’ils restent dans leurs fauteuils pendant que les travailleurs eux s’appauvrissent chaque jour qui passe.         

 

11/11/25 -  Les partenaires sociaux sont au service de l'Etat qui leur verse des subventions si ils sont sages, c'est pour cela qu'ils bougent pas.

Le « temps d’attente » est du travail effectif, les patrons voyous prétendent le contraire.

Avr 30, 2017 | Non classé | 0 commentaires

By franck.D

Les mauvais patrons (appelé patrons voyous) sont ceux qui prônent la législation européenne en ignorant qu’ils sont français, en fait c’est le pognon et que le pognon qui les rendent bourrins au point de prétendent combattre les routiers étrangers mais en voulant payer les chauffeurs français comme les polonais. 

Ils poussent les chauffeurs de l’hexagone avec leur propagande à ignorer le positionnement d’attente ( carré barré) prétextant qu’il n’existe plus; ils mentent et font la honte de la profession  en nous poussons à l’esclavagisme.

Ensuite ils  osent  parler de « solidarité » à tout vent  dans les medias qui leur appartiennent  alors que  ceux qui ont les cartes dans les mains font comme les négriers , usent de psychologie pour écraser « les petites gens » afin qu’ils aient peur de la fin du mois afin de mieux les manipuler.

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LE CARRE BARRE existe dans la legislation française et chaque salarié doit appliquer les textes.

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Jurisprudence récente :

Cass. soc. 8 février 2017, n° 15-11372 D

Le temps d’attente durant lesquels le salarié est contraint de rester dans son poids lourds pour le surveiller constitue du temps de travail effectif et doit être rémunéré.

Entre deux tournées, un salarié conducteur routier était contraint par son employeur de rester dans son véhicule afin de le surveiller, en attendant sa prochaine mission. Ces temps d’attente ne lui avaient pas été payés, il  avait alors réclamé leur paiement comme temps de travail effectif.

La Cour de cassation confirme la condamnation en appel de l’employeur : durant les temps d’attente, le salarié était contraint de rester dans son véhicule afin de le surveiller, ce qui démontrait qu’il était à la disposition de l’employeur et devait se conformer à ses directives sans pouvoir vaquer à des occupations personnelles.

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