Des  taxes, des impositions, des majorations, des décotes, des fins de droits …… voilà les cadeaux offerts par les politiques pour qu’ils restent dans leurs fauteuils pendant que les travailleurs eux s’appauvrissent chaque jour qui passe.         

 

11/11/25 -  Les partenaires sociaux sont au service de l'Etat qui leur verse des subventions si ils sont sages, c'est pour cela qu'ils bougent pas.

GENÈVE / 250 francs suisses d’amende pour n’avoir pas démarré… au vert !

Août 21, 2018 | Diaporama Acceuil | 0 commentaires

By franck.D

Jean-Bernard, un fonctionnaire international travaillant à Genève, et qui vit à Ferney-Voltaire, a fait les frais du zèle de policiers genevois cet été. Le 14 juillet, jour de Fête nationale (française), ce frontalier revient de la réception du consul général de France, où il avait été invité en tant que membre du bureau de l’Afif (Association des fonctionnaires internationaux français).

Alors qu’il emprunte la rue de Lausanne vers 15h, où l’on circule mal à cette heure (on est aussi le jour du triathlon de Genève), il se fait arrêter par la police de Genève et verbaliser. Une amende de 250 francs suisse pour un motif qui peut laisser perplexe : non-respect d’un signal lumineux. Sauf qu’à l’inverse des automobilistes qui sont généralement sanctionnés pour être passés au feu rouge, Jean-Bernard a été mis à l’amende pour n’être pas passé au vert… 250  francs suisses pour ne pas avoir démarré au vert, il y a de quoi passer par toutes les couleurs.

« L’attitude des trois jeunes officiers de police montrait clairement leur satisfaction d’avoir verbalisé un étranger, Français de surcroît. J’ai ensuite adressé un courrier au service des contraventions dès le 17 juillet. Sans réponse de leur part, je me suis déplacé dans les locaux de ce même service où l’on m’a opposé une fin de non-recevoir » témoigne le Ferneysien, qui reste intimement persuadé que « le fait d’avoir une plaque d’immatriculation française a eu un effet déterminant. »

Jean-Bernard a malgré tout essayé de parlementer. « Je me suis adressé à l’officier de police lui disant que par ce fait, je n’avais aucunement mis la vie des autres en danger, il m’a répondu sans gêne que ne pas démarrer au feu vert était aussi grave que de griller un feu rouge, car j’avais bloqué la circulation pendant 20 secondes environ. » Sans commentaire.

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